De nombreux festivals en Haute-Loire
Profitez de votre séjour sur le Haut Pays du Velay pour vous divertir sur l’un des nombreux festivals.
Office de Tourisme
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La Haute-Loire en mille couleurs
De juillet à octobre, les Festivals altiligériens inondent le département de spectacle, de musique, de théâtre, de danse… Bref, un joyeux bouillon de culture, de tous les styles et de tous les horizons qui donnent des couleurs à la Haute-Loire et qui la font vivre, elle, ses visiteurs et ses habitants, tout l’été durant !
De Brioude en passant par Le Puy-en-Velay, Yssingeaux, les Gorges de la Loire, de l’Allier ou encore du Lignon… Ce sont les quatre coins du département qui s’animent pour vous faire passer une saison inoubliable !
Découvrez-les tous :
- Les Brumes à Sainte-Sigolène
- Les Escales Brivadoises à Brioude et alentour
- Festival des 7 Lunes à Laptes
- Les Nuits de Saint-Jacques au Puy-en-Velay
- Nuits de rêve à Rosières
- Festival Six cordes au fil de l’Allier à Chanteuges
- Les Nuits basaltiques au Puy-en-Velay et alentour
- Le Festival de Craponne
- Interfolk au Puy-en-Velay et alentour
- Festival du Monastier
- Les Apéros musique de Blesle
- Lecture sous l’arbre au Chambon-sur-Lignon et alentour
- Festival en Gévaudan à Saugues
- Festival Musique en Vivarais-Lignon
- Festival Sucs en scène
- Le Festival de La Chaise-Dieu
- Les Fêtes Renaissance du Roi de l’Oiseau au Puy-en-Velay
- Le Chant des Sucs à Yssingeaux et alentour
- Festival du rire à Yssingeaux
Eglise romane St-Pierre et St-Roch
Eglise romane avec un choeur du XII ème siècle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques du 7 janvier 1926.
Description
Les bénédictins de La Chaise-Dieu desservaient l’église de Cistrières avant 1067 et en partageaient la suzeraineté avec le seigneur de Clavelier. Le prieuré a été uni à la mense abbatiale avant 1366. La paroisse, sous le vocable de Saint Pierre, relevait du diocèse de Saint-Flour et de l’archiprêtré de Brioude jusqu’à la Révolution.
En 1844, les lambris qui couvrent la nef de l’église menacent ruine. En 1873, on prévoit l’adjonction d’une chapelle. En 1875 débute un chantier plus vaste, sur les plans d’E. Léculée, architecte départemental, qui ne conserve que l’abside et détruit le clocher posé sur l’arc triomphal. La nef, les bas-côtés, la façade avec le clocher-mur, sont reconstruits et terminés en 1885.
La façade ouest est reconstruite en style néo-romano-byzantin avec un clocher-mur de trois arcades qui compte trois cloches dont une du XVIe siècle. Le chevet pentagonal est roman. Un des vitraux du XIXe représente St Joseph avec Jésus adolescent. Le cocher à peigne date de 1879.
Nef : date du 19éme siècle et a été construite selon le style néoclassique que l'on aperçoit au niveau des chapiteaux représentants des feuilles d'acanthes et des putti. Au dessus, dans le même alignement, on retrouve un pilier cannelé très massif de style néoclassique.
Choeur : roman du 12éme siècle, classé aux Monuments Historiques en date du 7 janvier 1926. Il est surmonté d'une voute en cul-de-four. Mur-buffet encerclant le choeur.
A l'extérieur, le chevet est flanqué de contreforts qui soutiennent l'édifice. Sous la corniche du toit, des modillons sculptés représentent des visages grimaçanyts, des animaux imaginaires.
Différence entre le style roman employé dans le choeur et la nef remaniée au 19éme siècle.
En 1957, l’architecte Frédéric Bachelier remplace la voûte en briques en anse de panier qui couvrait la nef par un plafond à caissons en bois. En 2008, une restauration menée par l’architecte François Desnier, restitue au chœur son volume roman, fait disparaître les contreforts et ouvre les baies de l’abside. À l’intérieur réfection des enduits, peintures et éclairage. Le nouvel autel a été consacré par Mgr Henri Brincard.
St-Pierre: Pécheur de Galilée, il est choisi par le Christ pour être un des Douze Apôtres et le chef de l’Eglise. C’est lui qui confesse que Jésus est le Fils de Dieu et qui jure de ne jamais abandonner Jésus avant de le renier trois fois au moment de la Passion.
St-Roch: Né vers 1350 à Montpellier, il se dévoua d’abord au service des pauvres dans sa ville natale puis, il revêtit l’habit de pèlerin et se dirigea vers Rome. Là, il soigna avec zèle les malades et surtout les pestiférés, manifestant des dons de thaumaturge en leur faveur. Atteint lui-même par la maladie à Plaisance, il reprit le chemin de sa patrie une fois guéri.
Arrêté comme espion du pape par le duc de Milan, il passa cinq années en prison où il mourut vers 1379. La renommée de ses miracles s’étendit dans toute la France méridionale puis dans l’Europe entière. Il est très vénéré dans le canton de La Chaise-Dieu.
- Types :
- Site et monument historique
Catégories
- XIXe siècle
- XIIe siècle
Tarifs
Gratuit
Accès libre.
Ouverture
Toute l'année, tous les jours.
Visite
Individuelle
- Visites individuelles libres en permanence
Groupes
- Visites groupes libres en permanence
Prestation
Activités sur place
- Concert
Confort / services
- Parking à proximité