De nombreux festivals en Haute-Loire

Profitez de votre séjour sur le Haut Pays du Velay pour vous divertir sur l’un des nombreux festivals.

Office de Tourisme
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La Haute-Loire en mille couleurs

De juillet à octobre, les Festivals altiligériens inondent le département de spectacle, de musique, de théâtre, de danse… Bref, un joyeux bouillon de culture, de tous les styles et de tous les horizons qui donnent des couleurs à la Haute-Loire et qui la font vivre, elle, ses visiteurs et ses habitants, tout l’été durant !

De Brioude en passant par Le Puy-en-Velay, Yssingeaux, les Gorges de la Loire, de l’Allier ou encore du Lignon… Ce sont les quatre coins du département qui s’animent pour vous faire passer une saison inoubliable !

Découvrez-les tous :

Église de l’Exaltation de la Sainte-Croix

PCU_Eglise de l’Exaltation de la Sainte-Croix_Façade extérieure

PCU_Eglise de l’Exaltation de la Sainte-Croix_Choeur

PCU_Eglise de l’Exaltation de la Sainte-Croix_Statue polychromée de St-Barthélémy

Eglise paroissiale, ancien prieuré de La Chaise-Dieu sous le vocable de l'exaltation de la Sainte Croix, possédant une autre protection céleste: St Barthélémy représentée par une statue du XVIIé s. en bois polychromé inscrite au catalogue des Beaux-Arts.

Description
Tarifs
Ouverture
Situation
Visite
Prestation

Description

Le nom de Félines existe au Xe siècle, la paroisse au moins au XIIe siècle. La cure dépendait au temporel de l’élection de Brioude (Auvergne), la justice appartenait au doyenné de La Chaise-Dieu (terre concédée par les Beaumont, possesseurs de Félines), au spirituel la cure relevait du diocèse du Puy ; en 1789 l’Université Saint-Mayol du Puy nommait à la cure.

L’église à l’origine romane a été remaniée, surtout aux XIXe et XXe siècles. Outre la refonte de la cloche en 1783, c’est en 1910 que les travaux les plus importants ont été fait. Le curé Jean Laurent demande l’autorisation de « faire des réparations » en prenant à sa charge tous les frais, ce qui lui est accordé « à ses risques et périls » (devis de 3 263 francs). Il fait construire une travée et déplacer l’entrée de l’église avec le porche. Il est également responsable de l’arrondi de l’église, à l’est, qui englobe la sacristie et explique la différence d’enfoncement des fenêtres de l’abside. En 1948 réfection de la toiture couvrant la nef et le chœur avec surélévation des murs d’environ 1,50 mètre. Le clocher, désormais trop bas, est élevé en 1951-52. Des travaux de rénovation sont réalisés à la fin du XXe siècle par l’architecte Philippe Vaissière.